Jean-Noël Pontbriand

Interventions

Cet onglet renvoie à des conférences, articles de revue, présentation lors de colloque, etc.


… « Depuis longtemps j’avais découvert l’existence de la poésie, et j’adorais en lire. Surtout à cause de l’effet que cette lecture produisait sur mon être, même si j’étais incapable d’expliquer le rapport qui existait entre cette lecture et cet être.»

Ci-joint le texte intitulé « Le poème en son lieu »


« Depuis l’invention de la modernité et de la mondialisation, la terre, semble-t-il, ne tourne plus autour du soleil, mais de l’utopie. Tout est possible. Suffit d’y penser et, surtout, de trouver un chercheur, il y en a tellement qu’on ne sait plus quoi faire avec, qui avalise l’hypothèse. Immédiatement cette dernière devient vérité, voire même dogme auquel il faut adhérer quasi sous peine d’excommunication.»

Ci-joint le texte intitulé « Lorsque les aveugles se prennent pour des voyants »


Le texte suivant est une intervention que j’ai faite lors d’un colloque, en 2012, portant sur la création à l’université. Il est paru dans un livre reproduisant la conférence de chacun des intervenants qui participaient à ce colloque : Portrait de l’artiste en intellectuel, Éditions Nota Bene, pp.  73-98

Ci-joint le texte intitulé « Artiste, donc intellectuel? » (PDF, 21 pages, 184 Ko)


… « Quelle ne fut pas ma surprise, alors que j’étais planté devant le rayon consacré à la poésie; oh, pas grand-chose, quelques petites plaquettes qui grelottaient de solitude dans l’étroit réduit que le libraire leur avait réservé, de voir surgir un chat. Ce chat sortait d’un sac on ne peut plus à la mode : la petite polémique que se livrent, en catimini, théoriciens et créateurs, principalement poètes, pour savoir lequel se nourrit de l’autre.»

Ci-joint le texte intitulé « Autour de l’anthologie : science poésie ».


… « Le thème retenu par le grand écrivain qui avait dû se désister, et que je devais remplacer, du bout des lèvres et au pied levé, était celui du leurre. Au lieu d’écrire un texte qui, comme tout texte littéraire, serait un leurre qu’un lecteur «expérimenté» peut transformer en réalité, il décida de passer aux actes, devenant lui-même un leurre dont la revue dut, bien malgré elle, se contenter.
Comment traiter du leurre sans perdre mon équilibre psychique ? »

Ci-joint le texte intitulé « LES LEURRES »


… « Cela revient, en réalité, à affirmer que la science c’est de la création. Je veux bien, mais à condition de donner au mot création une signification bien particulière, qu’il faut préciser. Ce que Fontaine n’a pas pris le temps de faire, probablement parce qu’il ne voyait même pas la possible question soulevée par son affirmation.»

Ci-joint le texte intitulé « La création qui crée et celle qui invente »